"Dans le bonheur, il y a forcément une part de
"Dans le bonheur, il y a forcément une part de malheur. Si on ne parle pas de l'un et de l'autre, on a une histoire bancale."
- A. Brooks
"Dans le bonheur, il y a forcément une part de malheur. Si on ne parle pas de l'un et de l'autre, on a une histoire bancale."
- A. Brooks
"Tu vois, je suis convaincu que le bonheur, ça s'apprend dès qu'on est petit. Les enfants reproduisent constamment ce qu'ils voient autour d'eux."
- J. Palmer
J’avais l’impression d’être une Viking. Ma vie à 27 ans c’était : je ne peux pas m’arrêter de boire même quand je veux ne pas boire, je prends de la cocaïne, c’est plus du tout festif mais je ne peux pas m'en empêcher, comme de me mettre dans des histoires ultra-douloureuses. Je ne contrôlais plus du tout. Baise-moi, ça a été violent : tu es une fille, tu parles de sexe et ça s’appelle Baise-moi. Les gens pensent que c’est normal de te défoncer, parce que dans leur tête, c’est ce que tu es venue chercher. J’étais trop agressive, trop en colère. Avant, j’étais assez contente. Comme un camion dérouté, mais contente. Et d’un coup, l’angoisse m’a dévorée.
Dans Vernon Subutex 3, tu reviens sur le viol.
C’est pas exceptionnel le viol. J’ai tort ou pas, mais je crois que la possibilité de violer est centrale dans la masculinité. Mais on n’a toujours pas mené d’études sérieuses en psychologie pour savoir comment tu te sens dix, vingt, trente ans après. Ça permettrait de définir des stratégies de récupération. Dans les années 80, ce qu’il t’arrivait, tu étais toute seule avec. Pour les très jeunes filles, ce sera certainement différent, elles peuvent aller sur Internet.
Tu en veux aux hommes ?
Non, mais réveillez-vous les gars. Au moment de l’affaire Polanski, il y a eu dans la revue La règle du jeu un article qui commençait par : « Appréhendé comme un vulgaire terroriste. » Qu’est-ce que c’est un mec qui viole, si ce n’est pas un terroriste de la masculinité ? Il impose la masculinité avec une violence évidemment moins effroyable qu’un coup de kalachnikov dans ta gueule, mais quand même. Les mecs qui se sentent bien dans la rue, super-puissants, super les chefs, ça compte dans le processus de la terreur. Parce qu’on sait toutes qu’on peut être violées. Avec les attentats on a découvert qu’on n’est en sécurité nulle part. Nous, les filles, on a toujours su qu’on n’était en sécurité nulle part.
- V. Despentes
Si c'est important pour quelqu'un, c'est important.
C'est toutes les choses qu'on ne dit pas, qui pèsent le plus lourd.
Is it enough to love ? Is it enough to breathe ? Somebody rip my heart out and leave me here to bleed.
- Avril Lavigne
The moment I wake up
Before I put on my makeup
I say a little pray for you
While combing my hair now
And wondering what dress to wear now
I say a little prayer for you
Forever and ever, you'll stay in my heart
And I will love you
Forever and ever, we never will part
Oh, how I love you
Together, forever, that's how it must be
To live without you
Would only mean heartbreak for me
I run for the bus, dear
While riding I think of us, dear
I say a little prayer for you
At work I just take time
And all through my coffee break time
I say a little prayer for you
Forever and ever, you'll stay in my heart
And I will love you
Forever and ever we never will part
Oh, how I'll love you
Together, forever, that's how it must be
To live without you
Would only mean heartbreak for me
Forever and ever, you'll stay in my heart
And I will love you
Forever and ever we never will part
Oh, how I'll love you
Together, forever, that's how it must be
To live without you
Would only mean heartbreak for me
I say a little prayer for you
I say a little prayer for you
My darling, believe me
(Believe me)
For me there is no one but you
Please love me too
(Answer his pray)
And I'm in love with you
(Answer his pray)
Answer my prayer now, babe
(Answer his pray)
Forever and ever, you'll stay in my heart
And I will love you
Forever and ever we never will part
Oh, how I'll love you
Together, forever, that's how it must be
To live without you
Would only mean heartbreak for me
- Aretha Franklin